
TOUT SUR LES VACCINS – MON AVIS
Maternité . Santé . SoinsBonjour à tous et à toutes !
Aujourd’hui je vous retrouve pour un sujet délicat qui m’a déjà été demandé plusieurs fois : les vaccins. Je pense que nous ne sommes pas assez informé, et que nous prenons les informations là ou nous les trouvons. Nous écoutons aussi tout le monde et n’importe qui.
Définition : VACCIN
Les différents types de vaccin :
Il existe deux grands types de vaccins : les vaccins vivants atténués et les vaccins inactivés.
- Les vaccins vivants atténués sont constitués de germes (virus, bactérie) vivants qui ont été modifiés afin qu’ils perdent leur pouvoir infectieux en gardant leur capacité à induire une protection chez la personne vaccinée. Ce type de vaccins est très efficace ; mais parce qu’ils contiennent un agent infectieux vivant, ils sont (sauf exception) contre-indiqués chez les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées.
- Les vaccins inactivés ne contiennent pas d’agents infectieux vivants. Ils peuvent contenir :
- soit un fragment de l’agent infectieux (sa paroi ou sa toxine), c’est le cas par exemple de l’hépatite Bou du tétanos ;
- soit la totalité de l’agent infectieux qui est inactivé (coqueluche).
Composition d’un vaccin :
Les vaccins sont composés d’une ou plusieurs substances actives d’origine biologique appelées « antigènes vaccinaux » qui sont issus de bactéries ou de virus. Afin de rendre le vaccin plus efficace, l’antigène vaccinal est généralement combiné à un adjuvant qui est très souvent un sel d’aluminium (hydroxyde ou phosphate). Des conservateurs antimicrobiens peuvent être employés pour empêcher la contamination microbienne du vaccin. Des stabilisants (lactose, sorbitol etc.) peuvent être utilisés afin de maintenir la qualité du vaccin pendant toute sa durée de conservation.
C’est quoi un adjuvant ?
Notre système immunitaire, constitué des cellules de défense de l’organisme, doit réagir lorsqu’un microbe pénètre dans notre organisme afin de l’éliminer.
Lorsque l’on injecte un vaccin, il agit de manière à ce que le corps développe sa propre protection contre les bactéries ou les virus qui sont à l’origine d’une maladie ciblée par le vaccin.
Pour la majorité des vaccins inactivés (ne comportant pas de microbe vivant), la présence d’adjuvants est indispensable pour permettre une réponse immunitaire entraînant une protection. L’ajout d’adjuvant dans les vaccins permet, par ailleurs, de diminuer la quantité d’antigènes par dose vaccinale, et de réduire le nombre d’injections.
Les sels d’aluminium figurent parmi les adjuvants les plus utilisés dans le monde avec un recul d’utilisation de 90 ans et des centaines de millions de doses injectées.
Sachez aussi que vous ingérez plus d’aluminium par jour avec votre poêle qu’avec une dose de vaccin.
Quels sont les 11 vaccins obligatoire ?
En 2018, les vaccinations contre :
- la diphtérie
- le tétanos
- poliomyélite
- la coqueluche
- l’Haemophilus influenzae b
- l’hépatite B
- le méningocoque C
- le pneumocoque
- la rougeole
- les oreillons
- la rubéole
sont obligatoires avant l’âge de 2 ans pour les nourrissons nés à partir du 1er janvier 2018.
Pour les enfants nés avant le 1er janvier 2018, les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite sont obligatoires aux âges de 2, 4 et 11 mois.
Pour les enfants de plus de 12 mois résidant en Guyane française, la vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire.
Le calendrier de vaccination :
Pourquoi est-il devenu obligatoire de faire vacciner son enfant?
Nous allons commencer par mettre un peu les pieds du coté de ma vision du problème :
Comme certains et certaines le savent je travaillais avant mon congé parental en service de Réanimation à l’hôpital. J’ai commencé au moment fort de la Grippe A et j’ai pu voir que cette maladie n’épargnait pas forcément les jeunes et pas forcément les personnes d’un âge plus avancé. J’ai vu des jeunes de mon âge atteints de la méningite et passer l’arme à gauche injustement. Idem pour la tuberculose : j’ai pu recevoir des immigrés clandestins fortement touchés par cette maladie car chez eux … Il n’y a pas de vaccin.
Et c’est là que je veux en venir. Avec l’immigration de masse qui arrivent en Europe, les pays du Sud qui n’ont aucune couverture vaccinale font revenir des maladies quasiment disparues. Nous voyageons aussi plus qu’avant, et donc revenons avec des maladies, puis nous contaminons d’autres personnes. Il faut savoir que lorsque vous êtes vacciné, il est possible d’attraper une maladie. Rien n’est sûre à 100% tout comme la pilule mesdames que vous prenez, vous pouvez tomber enceinte.
J’ai aussi remarqué que bon nombre de personnes contre la vaccination ne connaissaient pas vraiment les maladies auxquelles on tentait de les protéger. En fin d’article je vous mettrais chaque maladie pour que vous puissiez prendre conscience de ce qu’elles sont vraiment. Et elles ne sont pas toutes gentilles …
En outre, nous avons actuellement une recrudescence de la rougeole. Cette maladie n’est pas comme une simple varicelle. Elle peut tuer, conduire en réanimation. Si vous pensez que l’Etat à mis en place cette obligation dans le but de générer du profit au lobbing pharmaceutique vous vous trompez. Il gagne déjà bien assez sur nos pilules, le cancer, le diabète … Toute maladie chronique, ça c’est du business. Mais vous, demain, vous contractez la rougeole, vous finissez en réanimation : comptez environ 2500€ la journée dans ce type de service et la sécurité sociale n’est pas très fan de cela … Votre mutuelle ne le sera pas forcément non plus et suivant votre couverture sociale … C’est peu être même votre porte-feuille qui va trinquer.
La rougeole c’est quoi?
Des complications dues au virus même ou à des surinfections peuvent survenir : laryngite, otite, pneumonie et, plus grave, encéphalite pouvant entraîner la mort ou de possibles séquelles. Les hospitalisations pour complications sont plus fréquentes chez les nourrissons de moins d’1 an, les adolescents et les adultes.
La période de contagion commence 5 jours avant l’éruption cutanée (apparition des boutons) et dure jusqu’à 5 jours après le début de l’éruption.
En 1980, avant que la vaccination ne se généralise, on estimait le nombre de décès dus à la rougeole à 2,6 millions par an dans le monde. En France, il y avait plus de 600 000 cas chaque année. La rougeole est une maladie que l’on peut espérer faire disparaître complètement grâce à la vaccination.
La rougeole est une maladie à déclaration obligatoire en France.
Efficacité et impact du vaccin de la rougeole :
L’immunité apparaît dix à quinze jours après la 1ère injection. Le vaccin est efficace à près de 100% après 2 doses de vaccin. Grâce à la vaccination, les décès par rougeole dans le monde ont chuté de près de 80% entre 2000 et 2014. La région des Amériques et certains pays d’Europe du Nord ont éliminé la rougeole.
En France, avant la mise en œuvre de la vaccination systématique de tous les nourrissons contre la rougeole, plus de 600 000 cas survenaient chaque année. La vaccination a permis de diminuer fortement le nombre de cas de rougeole dans notre pays.
Cependant du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2017, plus de 24 500 cas de rougeole ont été déclarés en France (dont près de 15 000 cas pour la seule année 2011). Plus de 1 500 cas ont présenté une pneumonie grave, 38 une complication neurologique (35 encéphalites, 1 myélite, 2 Guillain-Barré). Entre 2008 et 2017, 20 personnes sont décédées de la rougeole dont au moins 8 chez des personnes avec des défenses immunitaires diminuées qui ne pouvaient être vaccinés ; seule l’élimination de la rougeole grâce à une couverture vaccinale très élevée de la population aurait pu les protéger. Ceci illustre la dimension altruiste de la vaccination.
La diminution du nombre des cas au cours des années 2012-2016 a été suivieen 2017 par une reprise de la circulation du virus de la rougeole, liée à l’augmentation progressive de personnes non protégées contre la maladie en raison d’une couverture vaccinale insuffisante tant chez les nourrissons (couverture de 79% avec deux doses au lieu des 95% nécessaires) que chez les enfants plus grands et les jeunes adultes.
La très nette augmentation du nombre des cas en décembre 2017 se prolonge en 2018, avec l’apparition de plusieurs épidémies, principalement en Nouvelle Aquitaine, avec plus de 200 cas déclarés sur les 6 premières semaines et un nouveau décès.
Contres-indications de ce vaccin :
Il convient de se référer à la notice de ces vaccins, disponibles sur le site de la base de données publique des médicaments pour connaître l’ensemble des contre-indications.
Le vaccin ne doit pas être utilisé en cas :
- d’allergie aux substances actives, à l’un des autres composants du vaccin, ou aux résidus à l’état de traces ;
- de maladie ou de prise d’un médicament qui affaiblissent le système immunitaire ;
- de grossesse (de plus la grossesse doit être évitée dans le mois suivant la vaccination).
La vaccination doit être différée en cas de maladie aiguë avec fièvre.
PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES
Après la vaccination d’une jeune femme contre la rougeole, il est nécessaire d’éviter toute grossesse dans le mois suivant l’injection. Un moyen de contraception efficace est nécessaire. Cependant, une vaccination pratiquée par inadvertance chez une femme enceinte ne doit pas conduire à une interruption de grossesse.
Pour plus d’information, n’hésitez pas à demander conseil à votre médecin ou votre pharmacien.
Effets indésirables :
Effets indésirables communs à tous les vaccins injectables :
- Réaction au site d’injection telle que douleur, rougeur, gonflement : très fréquent (>10 cas sur 100 vaccinés).
- Des effets généraux comme de la fièvre, des douleurs musculaires ou articulaires : fréquent (1 à 10 cas sur 100 vaccinés).
- Réaction allergique : très rare (1 cas sur 450 000 vaccinés).
Des réactions allergiques graves, bien que très rares, peuvent survenir après la vaccination. Si l’un des symptômes décrits ci-dessous apparaît, vous devez immédiatement contacter un médecin ou les urgences médicales :
- une éruption cutanée pouvant s’accompagner de démangeaisons ou de bulles ;
- un gonflement des yeux et du visage ;
- une difficulté à respirer ou à avaler ;
- une chute soudaine de la pression artérielle et une perte de connaissance.
La possibilité d’un lien entre la vaccination par le vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR) et le risque de survenue d’un autisme n’a jamais été confirmée. En effet, une dizaine d’études fiables a permis de démontrer que ce risque n’est pas supérieur chez les enfants déjà vaccinés avec le vaccin ROR que chez ceux qui ne le sont pas encore. Par ailleurs, l’étude de 1998, qui avait jeté le trouble dans les esprits, comportait de graves irrégularités et a été retirée par la revue qui l’avait publiée.
Conclusions :

Le mythe du vaccin de l’hépatite B :
Ce vaccin a maintenant plus de 20 ans de recul. Si dans votre famille il y a des antécédents de sclérose en plaque, il ne vous sera pas administré car ce vaccin PEUT déclarer la maladie que vous portez déjà dans vos gènes ou l’accélérer si vous êtes déjà atteint. Ce vaccin ne « donne » pas la maladie de la sclérose en plaque.
J’espère vous avoir éclairé !
Maternellement vôtre,
Ecomaman
Bonus : les 11 maladies
-
La diphtérie :
La diphtérie due à Corynebacterium diphtheriae est une maladie hautement contagieuse qui se transmet d’homme à homme. Ses conséquences les plus graves proviennent de la toxine qu’elle sécrète. La bactérie est alors porteuse du gène codant la toxine (tox+). La principale manifestation de la maladie est une angine qui peut se compliquer d’atteintes cardiaques ou neurologiques et entraîner le décès. Le mode de transmission se fait par voie aérienne lors de contacts directs avec des malades ou des porteurs sains. La toxine peut également être sécrétée par Corynebacterium ulcerans transmis à l’homme par le lait cru ou les animaux de compagnie et par Corynebacterium pseudotuberculosis transmis à l’homme par les caprins.
Le tétanos :
Le tétanos est une infection transmise par une bactérie présente sous forme de spores dans le sol. La spore est une forme qui lui permet de résister à des environnements très difficiles, elle reste donc des années présente dans la terre ou dans les intestins de certains animaux, comme les macaques, les babouins et les herbivores. Les chats et les chiens y sont moins sensibles.
Le plus souvent, l’homme s’infecte en jardinant ou lorsqu’il a un contact avec de la terre contaminée. Un outil et une épine de rose (contaminés) ou une simple griffure sont capables de transmettre le tétanos.
La spore passe en effet dans le sang par l’intermédiaire d’une blessure de la peau ou d’une muqueuse. Elle évolue en bactérie qui va sécréter une substance très toxique, la toxine tétanique. Celle-ci remonte le long des nerfs et agit au niveau des muscles, en empêchant leurs contractions.
L’action de la toxine tétanique se fait précisément au niveau de la jonction entre le nerf et la fibre musculaire, en bloquant la transmission des influx nerveux. Les muscles restent alors contractés.
C’est au niveau de la mâchoire que survient la première paralysie : les masséters, les muscles qui nous permettent de mastiquer, sont les premiers atteints. Manger devient d’abord difficile, puis la mâchoire se bloque complètement et il est impossible d’ouvrir la bouche.
La paralysie s’étend ensuite au pharynx, au larynx et même aux muscles respiratoires. Les contractures peuvent s’étendre à tout le corps et s’accompagner de douleurs. Une fois sur deux, le patient décède par arrêt respiratoire ou cardiaque.
La poliomyélite :
La coqueluche :
La coqueluche est une maladie causée par des germes qui se logent dans la gorge et les poumons. Pour cette raison, il est difficile de dégager le mucus qui encombre les voies respiratoires. Les enfants peuvent tousser si longtemps et si fort qu’ils sont incapables de respirer. Les nourrissons peuvent être incapables de tousser fort et arrêter de respirer.
Les bébés atteints de la coqueluche peuvent avoir des convulsions et, dans les cas graves, sombrer dans le coma. Environ 1 nourrisson sur 400 atteint de la coqueluche mourra en raison d’une pneumonie ou de lésions cérébrales.
Les enfants plus âgés, les adolescents et les adultes qui contractent la coqueluche auront des quintes de toux graves et fréquentes pendant 1 à 2 semaines. Au total, la toux peut persister de 6 à 12 semaines.
La bactérie Haemophilus influenzae de type b
Cette bactérie peut entraîner des infections locales, comme une otite ou une épiglottite, infection de l’arrière gorge (larynx) pouvant entraîner une asphyxie. Elle peut également se disséminer dans l’organisme par le sang (septicémie) et provoquer des méningites (infections des enveloppes du cerveau).
Environ 95% de ces infections invasives surviennent avant l’âge de 5 ans.
Les méningites à Haemophilus influenzae b peuvent être mortelles ou laisser des séquelles graves (surdité, cécité) dans environ 15% des cas malgré un traitement antibiotique réalisé en milieu hospitalier.
L’hépatite B :
L’hépatite B est une infection hépatique potentiellement mortelle causée par le virus de l’hépatite B (VHB). Elle représente un problème de santé publique majeur. Elle peut prendre une forme chronique et exposer les malades à un risque important de décès par cirrhose et cancer hépatique.
On dispose depuis 1982 d’un vaccin contre l’hépatite B. Ce vaccin est efficace à 95% dans la prévention de l’infection et du développement d’une hépatite chronique et d’un cancer du foie dû à l’hépatite B.
Le virus de l’hépatite B peut survivre en dehors du corps pendant au moins 7 jours. Au cours de ce laps de temps, le virus est encore susceptible de provoquer une infection s’il pénètre dans l’organisme d’une personne non protégée par la vaccination. La période d’incubation de l’hépatite B est de 75 jours en moyenne, mais peut varier de 30 à 180 jours. Le virus est détectable 30 à 60 jours après l’infection et peut persister dans l’organisme pour donner une hépatite B chronique.
Dans les zones de forte endémicité, les modes de propagation les plus courants de l’hépatite B sont la transmission périnatale (de la mère à l’enfant) et horizontale (exposition à du sang infecté), notamment entre un enfant infecté et un enfant non infecté pendant les 5 premières années de vie. L’apparition d’une infection chronique est très fréquente pour les nourrissons infectés par leur mère ou avant l’âge de 5 ans.
L’hépatite B se propage aussi par exposition percutanée ou à travers les muqueuses, et par le biais de la salive, des écoulements menstruels ou des sécrétions vaginales et séminales.
La méningocoque C :
Les méningocoques peuvent être présents dans l’arrière de la gorge, sans pour autant rendre malade : 5 à 10% de la population sont porteurs de la bactérie sans symptômes. La contamination se produit par des contacts proches et prolongés avec un porteur du germe. Cette bactérie se transmet, par exemple, par la toux ou les postillons.
Dans certains cas, les méningocoques peuvent se multiplier et passer dans le sang : on parle d’« infection invasive à méningocoque » (IIM).
Les formes les plus graves des infections à méningocoques sont les méningites (infections du liquide et des membranes qui enveloppent le cerveau) et les septicémies. Elles peuvent conduire au décès ou laisser des séquelles importantes.
L’apparition sur le corps de taches rouges ou violacées qui s’étendent très rapidement est le signe d’un purpura fulminans, une complication redoutable, mortelle dans 20 à 30% des cas en quelques heures en l’absence de traitement administré en urgence.
Les infections invasives à méningocoques sont, en France, des maladies à déclaration obligatoire.
En France, les infections graves à méningocoques touchent environ 600 personnes par an (deux tiers de méningites, un tiers de septicémies). Les personnes les plus touchées sont les enfants de moins d’1 an, les enfants entre 1 et 4 ans et les jeunes adultes non protégés de 15 à 24 ans.
Le pneumocoque :
Le pneumocoque est la première cause de méningite chez l’enfant comme chez l’adulte. Les séquelles des méningites à pneumocoque (surdité, handicap) sont fréquentes (dans environ un tiers des cas), même après un traitement par des médicaments antibiotiques en milieu hospitalier.
La transmission des pneumocoques se produit entre personnes, par contact direct et étroit avec la personne infectée ou porteuse lors de baisers, de toux, ou d’éternuements. Les infections à pneumocoque peuvent compliquer une infection virale comme la grippe.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime à plus de 800 000 le nombre d’enfants de moins de 5 ans qui meurent chaque année des suites d’une infection due au pneumocoque dans le monde. Au début des années 2000, avant la vaccination des nourrissons, chaque année, le pneumocoque était responsable en France de plus de 130 000 pneumonies, de plus de 6 000 septicémies et d’environ 700 méningites.
La rougeole :
Je vous en ai parlé dans cet article à titre d’exemple
Les oreillons :
les oreillons sont une maladie infantile due à l’inflammation par un virus des glandes parotides, situées en avant des oreilles. Chez l’enfant, ils sont très fréquents et restent sans gravité (contrairement à ceux chez l’adulte). Ils surviennent le plus souvent à la fin de l’hiver et au printemps, mais les oreillons sont de moins en moins retrouvés en raison de la vaccination qui est aujourd’hui presque systématiquement pratiquée.
Je tiens à préciser que malgré une couverture vaccinale j’ai attrapé cette maladie à l’âge de 7ans. j’avais 16% de chance de développer une méningite. Cette maladie est très très très douloureuse j’en garde un très mauvais souvenir et d’horrible cicatrices sur les tympans. J’ai eu beaucoup de chance de m’en tirer sans soucis par la suite.
La rubéole :
La rubéole est une infection contagieuse due à un virus de la famille des Togavirus. Elle provoque de la fièvre et une éruption cutanée, mais elle passe fréquemment inaperçue.
Elle survient le plus souvent chez l’enfant et elle est habituellement sans gravité. Par contre, c’est une infection potentiellement grave lorsqu’elle survient chez une femme enceinte qui n’est pas immunisée, car la rubéole peut entraîner des malformations de l’enfant qu’elle attend.
Il existe un vaccin combiné contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR) qui permet de se protéger contre cette maladie.
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Merci pour cet article très complet et vraiment instructif! Si on nous demande de faire ces vaccins comme des moutons sans rien nous expliquer, il ne faut pas s’étonner que les parents soient frileux à l’idée de faire vacciner leurs enfants… C’est bien plus clair pour moi, je suis « obligée » de faire vacciner ma future fille mais maintenant, je suis bcp moins stressée à cette idée !
Belle journée 🙂
Je suis contente de t’avoir éclairé. Oui je pense que l’Etat devrait donner des explications plutot que de forcer la mains sans en donner le sens
Bravo pour cet article hyper complet!
A force de lire tout et n’importe quoi sur internet, et notamment n’importe quoi pour faire le buzz, beaucoup de parents sont perdus et n’arrivent même plus à s’informer correctement.
En résulte un sujet qui fait polémique alors que le fond est tellement fondé…
Merci pour toutes ces précisions et pour ton point de vue, certes personnel mais qui permet de remettre les conséquences de la non vaccination à leur juste gravité (ce que trop de monde oublie, trop occupés que nous sommes à nous contredire les uns les autres)
Bonjour,
J’adore ton site et tes conseils…
Je reste cependant très sceptique sur le fait d’injecter autant de vaccins et d’aluminium chez des êtres aussi petits…y a-t-il des études qui ont été menées sur les effets combinés de tous ces vaccins chez les nourrissons?
Certes on sait que tel vaccin a tels ou tels effets indésirables, mais qu’en est-il de l’interaction de tous ces vaccins?
On ne peut pas écarter les conflits d’intérêts du ministre de la Santé Mme Buzyn qui a été rémunérée pendant 14 ans par les labos.
Je ne dis pas que les vaccins sont inutiles mais autant et sur des êtres aussi petits, je trouve ça grave…
Une maman
il faut savoir que sans que cela soit obligatoire nous étions plus de 80% a déja être vacciné de cette manière et cela depuis … très longtemps. J’ai 28 ans et hors la méningite j’ai eu tous les vaccins alors qu’ils n’étaient pas obligatoires, les lobbings se font donc depuis un bon moment de l’argent mais je te rassure les vaccins ne sont pas la source principale de leurs revenus. Le SIDA, les cancers … Les maladies chronique c’est leur gagne pain. Même avec cela j’ai pu avoir la joie d’attraper les Oreillons mais moins puissants. C’était il y a 20ans et je m’en souviens encore je ne le souhaite à personne et encore moins à un adulte sachant les conséquences désastreuses que cela peu avoir … Notre corps construit son Immunité les premières années de vie, recevoir des agents pathogènes à ce moment là permet au corps de construire son immunité face à ces maladies dont nous sommes de plus en plus ne contact, et de les enregistrer pour lutter contre ces dernières quand il les rencontrera. Nous pensons que parce que bébé est tout petit, il est donc vulnérable et ne peux faire face à cela. Hors rien qu’en rhume, il en attrapera les 3 premières années de sa vie en moyenne 30. Soit en gros presque constamment malade (surtout si il est en communauté). Comme je le disais, nous ingérons plus d’aluminium au quotidien que sur ces doses de vaccin. Egalement des résidus de plastique avec les biberons, des métaux lourds tels que le mercure ou le plomb avec nos vêtements et … Oui aussi ceux de bébé. Il y a 90 ans de vision sur les vaccins et pas de problème de ce coté là à déplorer.
J’ai écouté ta vidéo où tu parles des couches pampers, depuis j’avoue ne plus regarder ces couches de la même façon et tends vers plus de naturel. Comme tu dis, on nous dit bien ce qui est bon d’entendre, on est bien naïfs, la réalité est moins glorieuse.
Sur le même principe concernant les vaccins, je te propose un lien ci-dessous. Je le trouve exhaustif et pour moi il permet d’éclairer les lanternes des naïfs citoyens que nous sommes.
Juste pour revenir sur l’aluminium, quand il est ingéré, il est éliminé à 95% dans les fèces sans passer la barrière intestinale. Pour la fraction passant la barrière intestinale, 83% est éliminée par les urines.
Les cosmétiques vantent les déo sans sels d’aluminium…
Par contre, injecter autant d’alu chez un nouveau né ne devrait pas nous alerter…
Le lien:
https://acteurs.publi-contact.net/p11859-elise-lucet/lettre-2061
Bonne lecture,
Malheureusement les métaux lourds ingérés sont bel et bien assimilés par le corps. Pour exemple certaines princesses de la renaissance buvaient des décoctions d’eau et d’or pensant rester jeune éternellement. Durant leur autopsie, il a été découvert une absorption de l’or par les os en très grande quantité tout comme le mercure et le plomb qu’elles utilisaient avec le blanc de céruse pour rester pâle. Cela passait la barrière de la peau, était absorbé par l’organisme. Nous sommes des éponges. Une proche a malheureusement développé suite aux déodorants un cancer au niveau des glandes sudoripares sous les aisselles; le corps absorbe malheureusement le bon comme le mauvais. Lorsque nous mangeons de la viande, là encore nous assimilons les OGM et les antibiotiques que l’animal a ingéré. Après le vaccin n’est pas constitué uniquement que d’aluminium. Il n’y a pas eu de vague alarmante d’effets secondaires sur une, deux ou trois génération. En revanche il y a actuellement une vague de cancers chez les quinquagénaire : pilules, produits controversés tels que les serviettes hygiéniques, couches jetables, plats préparés, pesticides à tout va, Tchernobyl qui soit disant s’est arrêté à nos frontières, plastiques contenant des produits cancérigènes, cosmétiques rempli de produits de synthèses controversés … Beaucoup de produits que ces personnes ont « inaugurés » et dont ils font les frais aujourd’hui. L’EAT 2 avait également montré que l’exposition moyenne de la population française à l’aluminium était de 0,28 mg/kg pc/semaine chez les adultes et 0,42 mg/kg pc/semaine chez les enfants (de 3 à 17 ans). La dose hebdomadaire tolérable provisoire étant fixée à 1 mg/kg pc/semaine (contre 7mg en 1989 selon les recommandations de l’OMS) : on retrouve l’aluminium dans les boites de conserves, le chocolat (5% de notre exposition), présent à l’état naturel dans l’environnement, l’aluminium peut se retrouver dans certains légumes. « Les champignons, épinards, radis, bettes, laitues et doucettes présentent les taux les plus élevés » indique l’EFSA dans un avis scientifique rendu en mai 2008. Ces taux peuvent aller de 5 à 10 mg/kg. (ce qui est juste énorme), le thé noir en provenance du Ceylan, Inde ou Kenya qui donnent en gros dans une infustion plus de 4,2mg/litre d’aluminium … Dans l’eau courante, les épices et … OUIII Le lait infantile ! Il est contenu dans de l’aluminium donc le lait l’absorbe (en gros bébé ingère environ 897 microgrammes d’aluminium par semaine). Bref y en a partout de la merde malheureusement 🙁